L’enquête Biomin/DSM, qui observe la prévalence des mycotoxines dans le monde, met en évidence un risque élevé cette année : jugé sévère pour l’Asie du Sud-Est, il demeure haut pour l’Europe. La France n’est pas exempte de risque, comme l’explique Laure Roussel. [caption id="attachment_22154" align="alignleft" width="209"] Anneliese Müller, responsable de l’analyse du risque mycotoxines chez…
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