L’enquête Biomin/DSM, qui observe la prévalence des mycotoxines dans le monde, met en évidence un risque élevé cette année : jugé sévère pour l’Asie du Sud-Est, il demeure haut pour l’Europe. La France n’est pas exempte de risque, comme l’explique Laure Roussel. Anneliese Müller, responsable de l’analyse du risque mycotoxines chez DSM Pour la première…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.
Cet article vous à plu ? Faites le savoir