Dans un marché en régression, les places portuaires françaises doivent tirer leur épingle du jeu pour capter les flux de matières premières qui feront tourner les usines d’aliments du bétail. Adossées à des complexes agro-industriels ou non, elles développent des stratégies pour se placer dans les circuits d’importation. Sète, Brest, Lorient, Nantes/Saint-Nazaire ont chacune des…
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